Textes pour avouer ses sentiments
Quand tu attends que la personne que tu aimes réponde à
ton sms, tu as l'impression que les secondes deviennent des heures. Tu n'en
peux plus, tu ne fais que de regarder ton téléphone portable. Tu attends, tu
attends. Rien ne se passe, tu as peur, tu te demandes si tu dois réécrire un
nouveau message.
Tu me manques, tu me manques terriblement. Comme si les
mots ne suffisaient pas pour exprimer à quel point je ne pense qu'à toi. Ta présence
devient la seule chose dont j'ai le plus besoin. C'est dur, c'est dur de
continuer à respirer actuellement. Dur de me dire que tu ne reviendras
peut-être jamais et que nos souvenirs resteront hantés en moi. Je ne peux même
pas te témoigner de tout ce massacre, de tout ce que j'endure car il m'est
interdit de te joindre. Tu ne sais pas à quel point tu signifiais tant à mes
yeux, à quel point tu m'étais précieux. Dois-je, aujourd'hui, me forcer à
m'habituer à ton absence ? Telle est ma destinée.
Regarder la photo que j'ai de toi dans mon téléphone
portable, relire tes sms, savoir que te voir même 1 seconde peut me rendre
heureuse, trouver que tu es la personne la plus mignonne, vouloir te revoir dès
la seconde où tu me quittes, vouloir t'embrasser, me retenir de t'envoyer une
dizaine de messages en même pas 10 minutes, pleurer quand ça va mal, espérer
que tu seras toujours à mes côtés, avoir besoin de toi plus que tout et être
heureuse seulement grâce à toi est une preuve... Alors oui, je t'aime avec un
grand "a"
Si il y a bien une chose que je n'arrive pas à faire,
c'est d'être fausse. Je ne sais pas du tout faire ça, donc j'arrête. J'arrête de
faire semblant de t'aimer et tout le reste. Alors, continuons à vivre comme
comme avant, comme des étrangers.
Ainsi qu'un "pour la vie" et pourtant, regarde
où nous en sommes. Toi, à l'autre bout du monde, faisant de tes passe-temps ton
moment favori. Moi, en couple avec un autre garçon, faisant de ma vie un
cauchemar. Pourquoi tu n'as pas tenu ta promesse de rester avec moi ? Pourquoi as-tu
osé laisser tout tomber ? Tu es si faible, tu n'as même pas eu le courage
d'assumer tes mots et de rester fort à mes côtés. Tu m'as lâché comme tu m'as
brisé. Je sais que ce n'était pas parfait mais au jour d'aujourd'hui, me voilà
insatisfaite. Je voudrais te dire une chose : j'ai effacé toutes les douleurs
mais j'ai oublié de m'occuper des souvenirs car je sais qu'ils seront toujours
ancrés en moi.
Tu me manques, tu me manques terriblement. Comme si les
mots ne suffisaient pas pour exprimer à quel point je ne pense qu'à toi. Ta présence
devient la seule chose dont j'ai le plus besoin. C'est dur, c'est dur de
continuer à respirer actuellement. Dur de me dire que tu ne reviendras
peut-être jamais et que nos souvenirs resteront hantés en moi. Je ne peux même
pas te témoigner de tout ce massacre, de tout ce que j'endure car il m'est
interdit de te joindre. Tu ne sais pas à quel point tu signifiais tant à mes
yeux, à quel point tu m'étais précieux. Dois-je, aujourd'hui, me forcer à
m'habituer à ton absence ? Telle est ma destinée.
Dit que je te manque , dit moi que tu pense a moi , dit
moi que sans moi tu n'est rien , dit moi que t'aimerais me voir , dit moi que
tu m'a aimée , dit moi que t'aimerais entendre ma voie , dit moi que tu me trouve
jolie , dit moi que je suis la meilleure a tes yeux , [...] Dit moi simplement
que tu m'aime , s'il te plait je t'en pris ..
Je suis heureuse, oui je le suis. Tout simplement parce
que je sais que tu es là et que tu tiens à moi. Peu importe mon rôle dans ta
vie, nous savons tous deux que je ne te laisse pas indifférent, d'où l'utilité
de mon existence. Je ne suis plus cette pomme délaissée en dessous d'un arbre,
je ne suis plus seule désormais. Je m'attache rarement aux gens, tu sais. Mais toi,
oui toi, tu as su sortir du lot et pénétrer intensément dans mon cœur. Tu as
arraché cette chaîne qui m'emprisonnait et tu as pris le contrôle de mon être
31 536 000 secondes sont passées ; 365 jours durant
lesquels j'ai laissé un vide s'installer, une maladie se propager. Persuadée d'être
brisée, j'ai tout abandonné. J'ai bêtement délaissé ce qui m'entourait, je me
sentais systématiquement hantée. Je savais qu'il m'était impossible d'oublier,
je savais aussi qu'on pouvait m'aider. Mais je n'avais pas le courage de me
lever, je n'ai pas essayé de m'en tirer. A présent, les secondes continuent à
défiler. Vais-je continuer à pleurer ? Une question posée, une réponse à
trouver. Ou tout simplement, un passé à accepter.